L’urgence climatique est là, palpable, prégnante. L’urgence environnementale, même. Réchauffement climatique, biodiversité, pollutions. Tous les clignotants sont au rouge vif. Depuis environ un an, une prise de conscience générale — en France, tout au moins — semble avoir pris corps. Grâce, peut-être, (...)
Y’a d’la joie, Bonjour, bonjour les hirondelles, Y’a d’la joie
Ce matin, j’accompagne ma fille à l’école. Je croise un nombre certain d’autres parents qui font de même. On croise d’ailleurs plus ou moins les mêmes chaque matin, et même si on ne va pas garder les chèvres ensemble, il reste que pendant (...)
Il pointe timidement le bout de son nez, le livre électronique. Hi(ii)-bouc. Mais dans le métro, RER, on croise de plus en plus de voyageurs qui lisent sur ces plaquettes, tablettes électroniques, choisissant leur ouvrage parmi une bibliothèque virtuelle bien plus vaste qu’une vie humaine ne serait (...)
J’écoute assez rarement France Inter l’après-midi, et encore plus rarement l’émission Là-bas si j’y suis de Daniel Mermet, car en général je craque avant la fin des messages des auditeurs, plaintes et lamentations en veux-tu en voilà... Donc, une fois n’est pas coutume, j’écoutais cette émission. Mais (...)
En ces temps de grisaille hivernale, je m’étonne que les villes ici-bas soient si grises, comme si elles voulaient absolument refléter l’impression tristoune qui transpire déjà de chaque volute nuageuse. Je me demande pourquoi le béton qui tapisse nos villes est si gris. Je me demande pourquoi les (...)
Depuis quelques temps — j’ai découvert la chose il y a une semaine — mon article critiquant le livre des Bogdanov, « le Visage de Dieu » est inaccessible. Je tombe immanquablement sur une belle page d’erreur de la part de mon hébergeur, free. J’ai tout de suite pensé à un problème technique, mais (...)
Je suis triste de voir comment nos dirigeants dirigent. Je suis triste de constater que la culture et la liberté d’expression ne pèsent plus bien lourd devant le pouvoir et l’argent.
J’étais déjà bien triste il y a un an de constater le peu de poids des intellectuels, chercheurs et universitaires, (...)
Fut un temps ou l’on pouvait se soulager en toute quiétude dans les rues des villes sans pour autant passer pour un demeuré ou un sauvage échappé de je ne sais quel asile. Évidemment il fallait composer avec l’âcre et permanente odeur qui allait avec. Époque donc bien révolue, nos villes sont propres, (...)
J’adore les pommes. Et n’ayant pas de pommier dans mon jardin, il m’arrive d’avoir recours au marchand de pommes pour assouvir mon besoin. Marchand de pommes sous des formes diverses, mais dont la plus récurrente reste le supermarché. Or les pommes de supermarché, ou de primeur, c’est selon, sont (...)
J’ai décroché le téléphone, récemment, chez mes parents...
Il fut un temps où le téléphone était un ustensile d’une universelle simplicité à utiliser : ça sonnait, on décrochait, on se plaquait le combiné sur l’oreille, on écoutait, on parlait. Désormais rien n’est moins sûr : ça sonne, on prend le téléphone (...)