Je suis d’un naturel optimiste (mais non, l’Homme n’est pas aussi mauvais qu’il en a l’air), mais j’ai parfois des poussées de noir pessimisme. La dernière en date nacquit à la lecture d’un entrefilet dans le dernier numéro de La Recherche (novembre 2006), disant que la quantité de méthane émis par les (...)